Historique
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1986 – 1993 : l’élevage de Cairns Terriers commence en Guyane
C’est en Guyane que j’ai fait la connaissance de ce bon petit diable.
Visitant un élevage, trois petits bolides au poil hirsute, venus de métropole, sont venus me saluer sans aucun complexe, maculant en même temps mes jambes de latérite. C’est ainsi qu’une petite femelle Cairn fit son entrée dans notre famille. Elle convenait parfaitement à mes attentes, rustique, dynamique, pleine d’entrain, peu encombrante et débordant de tendresse… A suivi une petite structure d’élevage de 9 cairns.
Evidemment comme tout terrier qui se respecte, le Cairn est un brin têtu, un peu « soupe au lait » parfois, mais une bonne partie de balle a raison de lui et tout se termine par de gros câlins.
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1993 à aujourd’hui : l’élevage se poursuit en Bretagne
Plus tard en Bretagne, nous nous trouvons toujours aussi passionnés et fidèles à cette race que nous élevons sur le littoral Trégorois. Ce retour en France va aussi être l’occasion de travailler avec mes cairns pour les présenter en exposition. Une autre aventure démarre alors, riche de rencontres, de challenge et de concours sympathiques et stimulants.
C’est un grand bonheur d’élever mes terriers en Bretagne, ils retrouvent à travers la mer, les pierres et les forêts les origines de leurs chers cousins Ecossais. Ne vous étonnez pas de trouver régulièrement des noms comme Diwall, Laouenn, Hasta Buan… sur les pédigrées de la Tonnelle aux Orchidées, certains cairns chez moi sont baptisés en breton.